(En effectuant quelques recherches supplémentaires, j'ai réalisé que François Dion en avait déjà parlé dans Fait Main vol. 1, mais je n'avais pas été très attentif à l'époque, n'ayant pas encore de Raspberry Pi) .
Ces nappes comportent 34 ou 40 câbles, alors que le Raspberry Pi n'en requiert que 26... On peut quand même l'utiliser sans modification, mais les connecteurs non-utilisés vont déborder. C'est particulièrement problématique si votre framboise se trouve à l'intérieur d'un boîtier...
Autre inconvénient: à l'autre extrémité, les deux rangées de connecteurs femelles ne sont pas ce qu'il y a de plus pratique pour un breadboard.
J'ai donc décidé d'améliorer un peu l'idée de départ en coupant le connecteur femelle au moyen d'une petite scie pour qu'il ne comporte que les deux rangées de 13 connecteurs femelles requises par le Raspberry Pi, et en retirant de la nappe les fils inutiles (ça se fait très facilement avec les doigts). La photographie ci-dessous montre l'original (à droite) et la version modifiée (à gauche).
Voilà: le résultat rappelle un peu le T-Cobbler d'Adafruit, sauf que ça n'a rien coûté.
Reste à voir ce qu'on peut faire, côté logiciel, pour contrôler ces pins GPIO: ce sera le sujet d'une prochaine rubrique, je suppose.
Yves Pelletier (Twitter: @ElectroAmateur)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire